Nouvelle année, et pis Fanny...
Ben rien.
C'était juste pour faire un jeu de mot à la noix (j'aurais du faire un post-it).
Sur ce, devant faire face aux obligations inhérente à la nouvelle année qui l'étaient déjà l'année dernière, en l'occurrence, les assedics en moins, je m'en vais vous laisser histoire de réfléchir à la possibilité de gagner ma vie en faisant des choses qui n'engagent ni mon corps ni le bois de ma ville (et pourtant je ne suis pas fonctionnaire-bucheron).
J'attends avec impatience que l'on tire les Reines à l'épi Fanny (c'est un langage issu d'un vieux dialecte qui signifie textuellement : les reines qui s'appellent Fanny, et ça tombe bien, vous trouvez pas ?).
Non mais moi je dis ça, c'est parce que j'adore la frangipane, ça sonne comme un savant mélange de coiffure et de sexe en voiture.
Autre nouvelle, je suis officiellement potineuse. Ce qui signifie (c'est ma nouvelle expression préférée après "prends moi grand fou") que je vais écrire encore plus de n'importe quouismes puisque tout ce que je ne puis (pour des raisons déontologiques évidentes de professionnalisme aggravé) écrire ici sera désormais accessible sur POTINBLOG, le XXX de blog (XXX étant une habile censure pour désigner un mot très grossier qui commence par p et qui finit par utain (comme Jean-Pierre Hutin (sauf que ça ne s'écrit pas pareil (vous noterez à quel point cette année, la nouvelle Fanny aime toujours autant les parenthèse (les calembours minables (et les références à la con (et les parenthèse (tiens j'ai déjà dit parenthèses (cette fois c'est la bonne))))))))).
Bon ben ça va je m'aime toujours autant (la nouvelle Fanny n'a pas finit de s'auto-kiffer-sa-race).
Allez, bisoubaille.
Oh, by the way : l'année s'annonce comme la deux mille septième (non ?) depuis Jésus Christ (superstar), alors pour cette raison ainsi qu'un tas d'autres, inscrites dans les règles du savoir vivre, je vous la souhaite bien bonne.