Hum ... ahum ...

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Chante, triste anarchiste, répond l'au dela,

                                                                                    

Elle t'entend, belle tendre, elle te tend,

Tentante, sa bouche.

Racée, détente,

Elle tente de t'embrasser.


Tu tends le cou, pâle,

Seul sous les conflits que ton coeur se chante,

Seul le con fuit quand son coeur sec hante,

Son temps coupable.

 

Ton âme en vrai s'agite de belles envies,

Boudant sans fin,

s'avoue heureux mais l'ange sait que sans cesse il ment,

Ton corps enivré s'habite de belles en vie,

Goutant enfin

Le savoureux mélange de sexe et sentiments.

 

Indépendant lumineux mais noir, et loin si loin de moi,

Deviens l'ombre d'un chat, jeux, souris, émois ...

Solitude impossible, cette peine salope,

Pendant que les noeuds de ma mémoire éloignent nos ébats

Devant le sombre chas, je souris, et moi ...

Attitude impassible d'une sage Pénélope.

                                                                                      

                                                                                    

La sirene repond au chant de l'artiste-chat.

                                                                                    

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Cela peut paraître étrange, 

Ces mots n'ont plus lieu d'être

et pourtant

comme je voudrais

pas te le dire 

surtout pas.

Mais comme je voudrais

ressentir à nouveau

cette douce brulure

sans que le dégout vienne y verser

son alcool

malsain

 

 

Nonobstant,

Je suis assez fière de mon anagramme

parce que le milieu, le contenu, le coeur pourrait ne pas exister

tout pourrait être résumé en ces deux phrases

la première et la dernière 

 


Parce que les mêmes lettres

peuvent dire de nombreuses choses 

 

je peux aussi te mépriser

comme je t'aime 

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