Cela Sarenza-t-il un jour ? - Coucher pour réussir

Ou l'on s'aperçoit que plus l'opé est belle, plus le jeu de mot est pipé...

C'est non sans vous rappeler mon fait d'armes de l'année dernière qui n'était pas non plus très piqué des hannetons en matière de titre que je vous parle aujourd'hui de la deuxième course en escarpins.

En effet, Sarenza organise la seconde édition du championnat de Course en escarpins qui avait fait les grandes heures de la mode il y a un siècle, il y a un mois, il y a ... un an :

On ira ... se cacher dans les toilettes ...

Je sais pas bien à quoi ressemble une aquarelle de Marie Laurencin mais probablement pas à ça :

J'y étais, donc, sans la moindre intention de participer, bien entendu, mais avec la ferme envie de pom pom girler mes amis Barbie et La Fée qui concourissaient (du verbe concourisser, premier groupe) avec le succès que l'on sait, c'est à dire aucun.

Cette année encore, je me propose de mener (à la baguette) un groupe officiel de majorettes dans le but de soutenir à grands renforts de lever de gambettes l'une des équipes présentes. Mais laquelle ?

Je sais, cette proposition est complètement révolutionnaire, mais si on tient compte des événements récents dans ma vie tels qu'oublier une paire de chaussures quelque part ou cesser de manger pendant 3 jours pleins, on se dit que tout est différent, tout est pas pareil, comme Balisto, mais en mieux.

Ainsi donc chers concourisseurs, l'appel est lancé : La Fanny-Berrebi-Pom-Pom-Girl est en promo actuellement, et je vous invite à vous en procurer une avant que le stock soit épuisé.

Maintenant vous m'excusez mais je dois aller me promener dans les bois pour réfléchir à un chapitre de Petit Ours Brun et la belle au bois mordant.

Article sponsorisible