Sur une idée originale de monsieur Mry.

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Cet après midi, faute de spéculos, nous ferons du spéculatif.

Pour plus de détails, se procurer "De Dukan à Ducon. De l'influence du régime sur l'humour" éditions Dubois.

 

Vous ne le savez probablement pas mais je n'ai pas eu l'heur de me rendre à TedX, la conf des confs dans laquelle il était essentiellement question de confiance si l'on en croit la con(f)clusion offerte par le brillant Vinvin.

Je n'ai donc pas eu la chance d'être initiée aux merveilles du trou noir.

Car il y est paraît-il des terres brulées un homme quelque part, qui est capable d'expliquer les trous noirs au tout venant sans faire saigner du nez. Et cet homme était à TedX.

Moralité : pour moi, le trou noir, c'est rien qu'un truc béant dans lequel il n'y a rien.

Sans vouloir me louer outre mesure, j'avais raison, il n'y a rien dans un trou noir, sinon de la gravité.

 

La gravité est un paradoxe scientifique voulant que plus tu essaie d'être léger, plus on te dit que tu es lourd. Exemple : "putain Fanny t'es grave".

 

Alors pour en revenir au trou noir on va tout de suite endiguer la blague de merde (au sens pas propre) qui voudrait corréler le trou noir avec son homologue du cul, et on va passer derechef aux choses sérieuses :


 

En astrophysique, un trou noir est un objet massif dont le champ gravitationnel est si intense qu’il empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s’en échapper.

Où l'on ne parlera en aucun cas de constipation, donc.

Tout le monde le sait : il vaut mieux avoir un physique astral qu'un physique pas facile, c'est pourquoi l'astrophysique, on est pour.

Globalement on pourra donc dire que le trou noir : tu sais pas comment on y entre, et ça tombe bien puisque tu sais pas non plus comment on en sort.

L'astrophysique, en fait, c'est beaucoup plus simple que de se mettre du rouge à lèvre (running gag).

(tu sors)

(ah ben non tu peux pas ...)

 

Partant de ce postulat, affirmer que "du trou noir jaillit la lumière" serait un non-sens.

Or si on prend la génèse de ce texte il semblerait que d'un manque d'inspiration de l'ordre du grand absolu de l'univers, nous ayons réussi à tirer une réflexion.

Ce qui ferait de moi une sorte de Dieu.

De là à affirmer que cette réflexion ait un sens, il faudrait encore réussir à prouver que le monde lui même, a un sens, et ça pardonnez moi mais c'est pas gagné

Or je l'ai dit moi même il y a déjà 5 ans : Sens sans Constance n'est que ruines et larmes.

 

Ce qui nous amène à une conclusion en 2 étapes :

- Mon blog n'a de toute façon jamais eu le moindre sens

- Mais comme c'est un état constant, il peut donc être érigé en règle.

 

A partir de demain, ici, nous allons réfléchir.

 

Bonne nuit.

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