Préliminaires

 

En ces temps de scandale du zizi sexuel, la rédaction est en émoi. Nous venons de comprendre que les femmes de chambres américaine ne lisent pas ce blog. Ô rage ô desespoir Melba, nous étions pourtant certains de pouvoir affirmer que s'il existe une population à qui notre philosophie est susceptible de parler, c'est bien Jennifer Lopette, passeuse de serpillière dans un palace Etats-Uniens.

Nous leur passons donc un message, mesdames, une bonne fois pour toutes :

 

Coucher pour réussir c'est toujours un bon moyen de coucher

et à ce petit jeu, vous ne voudriez pas tirer la carte Jean Luc Mélenchon

 

Fin des préliminaires, entrons dans le vif du sujet


(il y a un concours pour gagner des places pour voir le film La conquête à la fin de cet article que si tu lis pas tout, tu perds)


Vif du sujet

 

On parle du pouvoir, en ce moment, on en parle comme de quelque chose qui peut vous faire perdre la tête et la queue, quelque chose qui dans tous les cas, vous fera perdre le sens des réalités bassement sociales de la vie quotidienne de vos sujets que vous essaierez donc de violer ou de voler selon que vous êtes avide ou libidineux. Car vous êtes forcément avide ou libidineux, sale dirigeant que vous êtes.

 

C'est pas nous qu'on le dit, c'est Jean-Louis, notre nouveau stagiaire, un habitué du Bar PMU de la rue de la Ro(que)quette. Nous avons demandé à Jean-Louis de nous chroniquer le film La conquête, et de nous mettre en une un petit coup de gueule sur l'affaire DSK. 

Le temps qu'il comprenne qu'on ne lui avait pas demandé de niquer ou de mettre un coup à qui que ce soit, et le voici qui s'écriait :

 

"Y'en a y zont la conquête à coeur, d'autres y zont la quéquette à cons"

 

Inutile de vous dire qu'il a été embauché sur le champ.

 

Bien que cela n'arrangea pas nos affaires quant à la rédaction d'un billet sur La Conquête, le film dont voici-z-en le pitch :

la-conquete-2011-21209-545136403.jpg6 mai 2007, second tour de l'élection présidentielle. Alors que les Français s’apprêtent à élire leur nouveau Président, Nicolas Sarkozy, sûr de sa victoire, reste cloîtré chez lui, en peignoir, sombre et abattu. Toute la journée, il cherche à joindre Cécilia qui le fuit. Les cinq années qui viennent de s'écouler défilent: elles racontent l'irrésistible ascension de Sarkozy, semée de coups tordus, de coups de gueule et d'affrontements en coulisse.La conquête : L'histoire d'un homme qui gagne le pouvoir et perd sa femme.

 

Bref un film hautement attendu, dont les extraits nous proposent une fresque politico-romantique saisissante de réalité dans laquelle on peut enfin affirmer que toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est bien fait pour ta gueule.

 

On est tellement impatients de le voir, nous autres, qu'on lui pardonne le passage suivant :

Nicolas (énervé) : "tu peux pas partir sur un coup de tête"

Cécilia (pénétrée) : "Je ne pars pas sur un coup de tête, je pars sur un coup de coeur !"

Il aurait dit "tu peux pas partir sur un coup de quéquette" que ça aurait eu autrement de la gueule, le dialogue.

Nous précisons que les didascalies sont l'oeuvre de Jean-Louis.

 

la-conquete-celle-d-avant.jpeg

Qui qui va se prendre un contrôle fiscal ?

 

Ainsi donc, dites moi en commentaire dans quelle autre note j'avais déjà parlé de Sarkozy, les 5 bonnes réponses de mon choix gagneront 2 places pour aller voir La conquête au cinéma (des indices sont semés dans cette note)

 

Pour rester dans le sujet nous dirons que les autres peuvent se toucher...

 

Pour finir, tenons nos promesses.

Qui dit scandale, dit Morandini

95426054.jpg

Il est où le rapport ?

(DanS ton Kul)

 

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